merci pour ces lignes avec lesquelles je suis d’accord. J’ai même fait un petit billet pour le dire sur mon blog. Continue dans cette voie si tu le peux, c’est bien !!
J’ai mes deux fils jumeaux dans cette maladie dont le plus touché en « symptômes positifs » depuis 20 années.
Sur les médocs c’est pas si simple, certains fonctionnent (en partie) et d’autres pas. Chaque cas est donc particulier, il est répertorié 7 types de schizo dont les symptômes sont différents et donc adapter une médication est compliquée, déja en premier lieu pour atténuer les perceptions et en second lieu pour limiter les effets secondaires.
Je vais faire un lien de ton blog sur mon site.
Maurice Champion – http://monsite.orange.fr/champion20
Bonjour, je suis bien concient que chaque cas est different et que cette maladie regroupe en fait differentes pathologies. Je souffre personnelement de shizophrenies « multiples » ,paranoido-affective.
Pour la question des medicaments je voulai principalement parler de cet effet secondaire vraiment tres dur a vivre, et je pensai cela pourrait etre utile d’en arler etant donné que les medecins ne semblent pas tous tres informés sur cet effet secondaire qui semble ne pas etre connu dans leur litterature , par rapport a la prise de cette molecule precisement . Je souhaite a personne de vivre ce symptome , c’est pour cette raison que je conseille au schizophrènes de consulter rapidement si ils se reconnaissent dans ce que j’ai décrit (et que d’autres schizophrénes on decrit aussi donc je suis pas un cas isolé) . Meme si il est pas evident dans certain cas de changer de traitement, je pense que vaut mieux ca que de rester dans un etat akathisique qui ne fait que rajouter une souffrance.
Je fait un lien permanent vers ton site, j’ai pas encore eu le temps de tout lire, j’espere qu’on pourra discuter encore .
Bonjour,
j’ai trouvé l’adresse de ton blog chez Sam Body (schizerrances)
je vais l’ajouter dans mes liens
en te remerciant d’avoir placé mon blog dans les tiens
bonne continuation
Cép
C’était mon premier anti psychotique. J’en ai pris 1 journée j’ai eu un malaise … je précise que je ne suis pas schizophrène. C’était censé m’aider … finalement je ne prends plus rien et c’est surement mieux comme ca.
I’m the sister of Elie Makhraz, and I’m sending this message because we are in desperate need of your help .My brother is 19 years old and about two years ago when he was getting ready to go into college, he began battling a big problem that has been affecting him ever since and making his and our lives a living nightmare. It has drained him of all potential, all happiness, and he now has almost no contact with the outside world. Nobody is being able to help him his condition, and consequently, it has been getting worse with time.
It all began one day when he suddenly could no longer remember how to write, and since then he has lost all writing ability, and now writing barely four words can take few days, if accomplished . After that, he started to become obsessive over the pimples in his face and could not stop touching them or looking at them. It was like he had no control over what he was doing. He says that this obsession is like an intense thought that comes to his mind when he first wakes up in the morning, and it remains stuck in his head; thus, he, for instance, could not stop touching the pimples on his face. Eventually, intense thoughts would invade his mind, and he would spend every single day trying to sort out these thoughts. As a result, this process of thought-sorting has consumed his entire time, and he now does not perform any activities. He would even spend some days without sleeping or eating, battling with these thoughts. He even reached a period when he forgot how to walk, talk ,where to look, how to move his hand, head,…He says that he’s now “like a corrupted robot” and “ he feels his head shut down and deteriorate with every second.” “These millions of thoughts that come to his mind per second are exhausting”, he says. He has been to many psychiatrists and he has taken several strong medications, that these psychiatrists had prescribed .However, he eventually loses hope because none of them make his thoughts go away. He would then stop the medicine after a maximum of two months, before giving it enough time to produce any actual improvement. Thus, his situation seems to get worse every time. The prescribed medications he has taken so far are: Risperdal, Zoloft, Anafranil, Zeldox, Zyprexa, Abilify, Cypralex, and Seroquel. However, we believe that either none of the mentioned medications are suitable for his case, or they are not given in the appropriate dosage. Most psychiatrists say it’s severe OCD, but we have researched this disorder and found that it was incompatible with my brother’s symptoms. Moreover, the medications given are used normally for schizophrenia and bipolar disease.
Today, my brother refuses to confront any psychiatrist, because he believes that no one can help him with what he’s going through. Moreover, he sometimes stops the medication suddenly, and is unable to take it continuously because he believes that it only makes the thoughts grow more intense, and would not help in any way.
can you please help my brother and my family? This has been destroying us gradually and it has affected every single one of our lives. However, I am mostly concerned for my mom. She’s always sad and she keeps on crying…We’re afraid of losing her. This summer, she suffered from severe heart problems due to stress, and was submitted to hospital.
So please can u consider this case, and help us in finding the appropriate solution.
Looking forward to your reply and thank you in advance,
Mirella Makhraz
J’ai lu avec attention votre temoignage. Malheureusement je ne peu pas me substituer à votre medecin, qui lui seul est le plus apte à aider votre frère. Donc mon premier conseil serait qu’il reprenne contact avec une personne suceptible de l’aider et de le soulager en lui prescrivant au moins des neuloptiques, car à l’heure actuel pour attenuer les symptomes que vous decrivez , il n’y a que cette solution à ma connaissance.
Certainement le fait que votre frère n’ai pas voulu continuer son traitement lui a été préjudiciable. Les effets des medicaments ne sont pas instantanés et il faut donc etre patient et ne pas decider d’arreter ou bout deux mois. Je pense qu’au bout de deux mois si les symptomes sont persistant le medecin aurait pu augmenter les doses mais en aucun cas arreter le protocole existant.
Il faut aussi veiller a ce que votre frère prenne bien ce traitement , car il n’est pas rare que les malades soient tres reticent au debut à le prendre . Cela est tout à fait important que la prise soit réguliere .
En aucun cas dans ce blog je fairai l’opologie de l’arret des medicaments , car par experience je sais qu’ils sont trés efficaces donc je ne peu que vous conseiller de reprendre contact avec un medecin pour qu’il en prescrive à votre frere , et à votre famille de veiller à ce qu’il les prenne réelement.
Pour les pensées et obsessions nombreuses qu’a votre frere , j’ai bien connu ca moi aussi et c’est effectivemnt epuisant , mais la prise de neuroleptiques généralement est donc trés efficace pour faire disparaitre totalement ce genre de symptomes.
Tous ces témoignages sont très touchant. Je suis présentement en stage en psychiatrie comme étudiant en soins infirmiers et j’ai eu à travailler avec plusieurs patients atteint de la schizophrénie. Je peut donc facilement comprendre instabilité émotive que Mirella est en train de vivre. Tiens bon Mirella votre frère est atteint d’une maladie où les médicaments n’offrent pas de solution miracle les effets thérapeutiques peuvent prendre un délai raisonnable car le temps de réponse aux médicaments tout dépendamment de l’individu peut prendre un certain temps avant d’avoir un effet positif sur les neurotransmetteurs impliquer.Vous savez être atteint de la schizophrénie c’est comme être atteint du diabète ; il faut prendre des médicaments pour le reste de notre vie. Les symptômes comme l’akathisie(impossibilité de rester en place) n’apparaisse que quelques heures ou quelques jours après la prise d’antipsychotique. Je sais que certains effets secondaires peuvent être désagréable, mais il est prouver qu’avec le temps la situation s’améliore si les médicaments prescrits sont consommés sur une base régulière.Alors bon courage… De la part d’un gars qui vous comprends bien.
PS: Mirella il ne faut surtout pas que ta mère s’oublie à travers son dévouement pour son fils , car si tout le monde tombe malade on ne peut plus avancer il faut qu’elle se trouve absolument des moments de détente qui lui appartiendra.
Abilify efficace mais pour calmer un délire de schizo-tox qui rassemble tout ces délires qu’il a pu avoir. C’est impossible à moins de me transformer en zombi, ceux que vous psychiatre vous savez très bien faire.
» Entre le génie et la folie, il n’y qu’un pas ! » A.Einstein
Les traitements heureusement qui sont là quand on va mal, mais ils sont à éviter, on évolue moins vite ! Et çà nous abrouti !
J’en sais quelque chose croyez moi .
J’ai mis 1 an à accepter que j’étais schizo en + d’être tox ( et attention pas n’importe qu’elle tox…), merci aux steréoïtypes de notre société !
Le schizo moderne est un schizo violent !
à la suite d’une cure de désintoxication en 2002 à L’EPSM de ST AVé, j’ai été diagnostiquée schizophrène en 2003.
En 2002, j’ai pris du tercian pendant 6 mois et j’ai arrêté le traitement car j’étais trop fatiguée.
alors je suis retournée à l’EPSM en 2003 et on m’a proposé de prendre du zyprexa, en 6 mois j’ai pris 30 Kilogrammes. et puis 15 kilos sur 1 an 1/2. depuis l’hiver 2005 j’expérimente Abilify (où le temps d’adaptation est de 3 mois).
je m’endors en cours, je manque de motivation, je suis l’effet YOYO (85 kg en 2006, 55 kg en 2007 et aujourd’hui 2010 77 kg), ma mémoire est déficiente, peu de plaisirs sexuels, etc.
je pense être très fragile psychologiquement, à plusieurs reprises, j’ai pu être traumatisé comme à 11 ans où ma mère a commencé à me violenter jusqu’à que je me drogue en 2001, ensuite il y a eu cet inceste que j’ai subi en 1999, il y a eu l’abandon de mes meilleures amies (laure et marie) en 2003, le décès de mon père en 2005. aujourd’hui le fait d’être mise à l’écart par le groupe d’amis que je fréquente depuis le 15 août 2000 me fait très souffrir cependant j’y trouve satisfaction car ils sont vicieux à cause de la drogue mais j’aimerais garder un lien amical avec eux. il y a eu également mon avortement en 2003. la difficile période où je n’arrivais à faire un choix amoureux entre deux de mes amis de 2003 à 2006, en 2006 j’ai rencontré un jeune dont je suis tombée amoureuse mais il n’apprécie pas mon passé de toxicomane et de fille facile. en effet beaucoup de choses se sont passés comme la recherche incessante du plaisir sexuel perdu. je me rends compte que je deviens de plus en plus paranoïaque (la jalousie et mon amour pour ces personnes), je me tape des crises qui sont incontrôlables (cela finit par des insultes fortes et agressives) c’est malheureux car je fais du mal non parce qu’il est physique mais verbal.
mes plus lourds fardeaux sont mon poids, ma parano, l’abandon de mes proches ou alors la non intégration avec d’autres personnes. souvent les gens ont peur de moi et je ne sais pas pourquoi. je suis différente alors que j’étais qu’originale, drôle, dynamique avant de me droguer.
merci
en 2006 j ai atteri en hopital spy suite a une mechante cuite (+ de 3 grammes) avec tentative de suicide et hallussinations (grosse depression), je ne sais toujours pas pourquoi on m a donne du risperdal (soit disant schizophrene ?!), je m en souvient encore: raideur incontrolable de la nuque avec sueur froide puis trouble du language ensuite forte parano, grosses hallus avec reveil une semaine apres attache a un lit, bravo.je ne comprend toujours pas ce qu il c est passe, car aucune explication du spy de l unite. depuis je prend du seresta 10 mg (pour femme enceinte)et tout va bien mise a par que je ne fais plus confiance au personel soignant en general, c est dommage
bonjour,
moi on m’a diagnostiqué schizophrène mais moi c’est depuis que j’ai été hospitalisée que je suis tombée vraiment malade. J’ai subi des injections de Clopixol pendant 4 mois et j’ai du mal à m’en remettre depuis. Mon cerveau ne récupère pas il est comme abîmé.
Sam Body 16 février
Hello « collègue »,
merci pour ces lignes avec lesquelles je suis d’accord. J’ai même fait un petit billet pour le dire sur mon blog. Continue dans cette voie si tu le peux, c’est bien !!
Champion Maurice 16 février
Bonjour,
J’ai mes deux fils jumeaux dans cette maladie dont le plus touché en « symptômes positifs » depuis 20 années.
Sur les médocs c’est pas si simple, certains fonctionnent (en partie) et d’autres pas. Chaque cas est donc particulier, il est répertorié 7 types de schizo dont les symptômes sont différents et donc adapter une médication est compliquée, déja en premier lieu pour atténuer les perceptions et en second lieu pour limiter les effets secondaires.
Je vais faire un lien de ton blog sur mon site.
Maurice Champion – http://monsite.orange.fr/champion20
Cordialement et courage pour la suite.
schizophrenie 16 février
@Maurice,
Bonjour, je suis bien concient que chaque cas est different et que cette maladie regroupe en fait differentes pathologies. Je souffre personnelement de shizophrenies « multiples » ,paranoido-affective.
Pour la question des medicaments je voulai principalement parler de cet effet secondaire vraiment tres dur a vivre, et je pensai cela pourrait etre utile d’en arler etant donné que les medecins ne semblent pas tous tres informés sur cet effet secondaire qui semble ne pas etre connu dans leur litterature , par rapport a la prise de cette molecule precisement . Je souhaite a personne de vivre ce symptome , c’est pour cette raison que je conseille au schizophrènes de consulter rapidement si ils se reconnaissent dans ce que j’ai décrit (et que d’autres schizophrénes on decrit aussi donc je suis pas un cas isolé) . Meme si il est pas evident dans certain cas de changer de traitement, je pense que vaut mieux ca que de rester dans un etat akathisique qui ne fait que rajouter une souffrance.
Je fait un lien permanent vers ton site, j’ai pas encore eu le temps de tout lire, j’espere qu’on pourra discuter encore .
@++
JC
Cepaduluxe 18 février
Bonjour,
j’ai trouvé l’adresse de ton blog chez Sam Body (schizerrances)
je vais l’ajouter dans mes liens
en te remerciant d’avoir placé mon blog dans les tiens
bonne continuation
Cép
phil 3 mars
C’était mon premier anti psychotique. J’en ai pris 1 journée j’ai eu un malaise … je précise que je ne suis pas schizophrène. C’était censé m’aider … finalement je ne prends plus rien et c’est surement mieux comme ca.
mirella makhraz 5 avril
To whom it may concern,
I’m the sister of Elie Makhraz, and I’m sending this message because we are in desperate need of your help .My brother is 19 years old and about two years ago when he was getting ready to go into college, he began battling a big problem that has been affecting him ever since and making his and our lives a living nightmare. It has drained him of all potential, all happiness, and he now has almost no contact with the outside world. Nobody is being able to help him his condition, and consequently, it has been getting worse with time.
It all began one day when he suddenly could no longer remember how to write, and since then he has lost all writing ability, and now writing barely four words can take few days, if accomplished . After that, he started to become obsessive over the pimples in his face and could not stop touching them or looking at them. It was like he had no control over what he was doing. He says that this obsession is like an intense thought that comes to his mind when he first wakes up in the morning, and it remains stuck in his head; thus, he, for instance, could not stop touching the pimples on his face. Eventually, intense thoughts would invade his mind, and he would spend every single day trying to sort out these thoughts. As a result, this process of thought-sorting has consumed his entire time, and he now does not perform any activities. He would even spend some days without sleeping or eating, battling with these thoughts. He even reached a period when he forgot how to walk, talk ,where to look, how to move his hand, head,…He says that he’s now “like a corrupted robot” and “ he feels his head shut down and deteriorate with every second.” “These millions of thoughts that come to his mind per second are exhausting”, he says. He has been to many psychiatrists and he has taken several strong medications, that these psychiatrists had prescribed .However, he eventually loses hope because none of them make his thoughts go away. He would then stop the medicine after a maximum of two months, before giving it enough time to produce any actual improvement. Thus, his situation seems to get worse every time. The prescribed medications he has taken so far are: Risperdal, Zoloft, Anafranil, Zeldox, Zyprexa, Abilify, Cypralex, and Seroquel. However, we believe that either none of the mentioned medications are suitable for his case, or they are not given in the appropriate dosage. Most psychiatrists say it’s severe OCD, but we have researched this disorder and found that it was incompatible with my brother’s symptoms. Moreover, the medications given are used normally for schizophrenia and bipolar disease.
Today, my brother refuses to confront any psychiatrist, because he believes that no one can help him with what he’s going through. Moreover, he sometimes stops the medication suddenly, and is unable to take it continuously because he believes that it only makes the thoughts grow more intense, and would not help in any way.
can you please help my brother and my family? This has been destroying us gradually and it has affected every single one of our lives. However, I am mostly concerned for my mom. She’s always sad and she keeps on crying…We’re afraid of losing her. This summer, she suffered from severe heart problems due to stress, and was submitted to hospital.
So please can u consider this case, and help us in finding the appropriate solution.
Looking forward to your reply and thank you in advance,
Mirella Makhraz
Jean christophe 5 avril
Bonjour Mirella,
J’ai lu avec attention votre temoignage. Malheureusement je ne peu pas me substituer à votre medecin, qui lui seul est le plus apte à aider votre frère. Donc mon premier conseil serait qu’il reprenne contact avec une personne suceptible de l’aider et de le soulager en lui prescrivant au moins des neuloptiques, car à l’heure actuel pour attenuer les symptomes que vous decrivez , il n’y a que cette solution à ma connaissance.
Certainement le fait que votre frère n’ai pas voulu continuer son traitement lui a été préjudiciable. Les effets des medicaments ne sont pas instantanés et il faut donc etre patient et ne pas decider d’arreter ou bout deux mois. Je pense qu’au bout de deux mois si les symptomes sont persistant le medecin aurait pu augmenter les doses mais en aucun cas arreter le protocole existant.
Il faut aussi veiller a ce que votre frère prenne bien ce traitement , car il n’est pas rare que les malades soient tres reticent au debut à le prendre . Cela est tout à fait important que la prise soit réguliere .
En aucun cas dans ce blog je fairai l’opologie de l’arret des medicaments , car par experience je sais qu’ils sont trés efficaces donc je ne peu que vous conseiller de reprendre contact avec un medecin pour qu’il en prescrive à votre frere , et à votre famille de veiller à ce qu’il les prenne réelement.
Pour les pensées et obsessions nombreuses qu’a votre frere , j’ai bien connu ca moi aussi et c’est effectivemnt epuisant , mais la prise de neuroleptiques généralement est donc trés efficace pour faire disparaitre totalement ce genre de symptomes.
John Darbouze 3 octobre
Tous ces témoignages sont très touchant. Je suis présentement en stage en psychiatrie comme étudiant en soins infirmiers et j’ai eu à travailler avec plusieurs patients atteint de la schizophrénie. Je peut donc facilement comprendre instabilité émotive que Mirella est en train de vivre. Tiens bon Mirella votre frère est atteint d’une maladie où les médicaments n’offrent pas de solution miracle les effets thérapeutiques peuvent prendre un délai raisonnable car le temps de réponse aux médicaments tout dépendamment de l’individu peut prendre un certain temps avant d’avoir un effet positif sur les neurotransmetteurs impliquer.Vous savez être atteint de la schizophrénie c’est comme être atteint du diabète ; il faut prendre des médicaments pour le reste de notre vie. Les symptômes comme l’akathisie(impossibilité de rester en place) n’apparaisse que quelques heures ou quelques jours après la prise d’antipsychotique. Je sais que certains effets secondaires peuvent être désagréable, mais il est prouver qu’avec le temps la situation s’améliore si les médicaments prescrits sont consommés sur une base régulière.Alors bon courage… De la part d’un gars qui vous comprends bien.
PS: Mirella il ne faut surtout pas que ta mère s’oublie à travers son dévouement pour son fils , car si tout le monde tombe malade on ne peut plus avancer il faut qu’elle se trouve absolument des moments de détente qui lui appartiendra.
John
Valentin 18 août
Abilify efficace mais pour calmer un délire de schizo-tox qui rassemble tout ces délires qu’il a pu avoir. C’est impossible à moins de me transformer en zombi, ceux que vous psychiatre vous savez très bien faire.
» Entre le génie et la folie, il n’y qu’un pas ! » A.Einstein
Les traitements heureusement qui sont là quand on va mal, mais ils sont à éviter, on évolue moins vite ! Et çà nous abrouti !
J’en sais quelque chose croyez moi .
J’ai mis 1 an à accepter que j’étais schizo en + d’être tox ( et attention pas n’importe qu’elle tox…), merci aux steréoïtypes de notre société !
Le schizo moderne est un schizo violent !
SHINY 3 janvier
bonjour,
à la suite d’une cure de désintoxication en 2002 à L’EPSM de ST AVé, j’ai été diagnostiquée schizophrène en 2003.
En 2002, j’ai pris du tercian pendant 6 mois et j’ai arrêté le traitement car j’étais trop fatiguée.
alors je suis retournée à l’EPSM en 2003 et on m’a proposé de prendre du zyprexa, en 6 mois j’ai pris 30 Kilogrammes. et puis 15 kilos sur 1 an 1/2. depuis l’hiver 2005 j’expérimente Abilify (où le temps d’adaptation est de 3 mois).
je m’endors en cours, je manque de motivation, je suis l’effet YOYO (85 kg en 2006, 55 kg en 2007 et aujourd’hui 2010 77 kg), ma mémoire est déficiente, peu de plaisirs sexuels, etc.
je pense être très fragile psychologiquement, à plusieurs reprises, j’ai pu être traumatisé comme à 11 ans où ma mère a commencé à me violenter jusqu’à que je me drogue en 2001, ensuite il y a eu cet inceste que j’ai subi en 1999, il y a eu l’abandon de mes meilleures amies (laure et marie) en 2003, le décès de mon père en 2005. aujourd’hui le fait d’être mise à l’écart par le groupe d’amis que je fréquente depuis le 15 août 2000 me fait très souffrir cependant j’y trouve satisfaction car ils sont vicieux à cause de la drogue mais j’aimerais garder un lien amical avec eux. il y a eu également mon avortement en 2003. la difficile période où je n’arrivais à faire un choix amoureux entre deux de mes amis de 2003 à 2006, en 2006 j’ai rencontré un jeune dont je suis tombée amoureuse mais il n’apprécie pas mon passé de toxicomane et de fille facile. en effet beaucoup de choses se sont passés comme la recherche incessante du plaisir sexuel perdu. je me rends compte que je deviens de plus en plus paranoïaque (la jalousie et mon amour pour ces personnes), je me tape des crises qui sont incontrôlables (cela finit par des insultes fortes et agressives) c’est malheureux car je fais du mal non parce qu’il est physique mais verbal.
mes plus lourds fardeaux sont mon poids, ma parano, l’abandon de mes proches ou alors la non intégration avec d’autres personnes. souvent les gens ont peur de moi et je ne sais pas pourquoi. je suis différente alors que j’étais qu’originale, drôle, dynamique avant de me droguer.
merci
SHINY 3 janvier
j’aurai 25 ans le 3 juillet 2010 et je recherche un traitement adapté à mes crises.
renaux 1 février
en 2006 j ai atteri en hopital spy suite a une mechante cuite (+ de 3 grammes) avec tentative de suicide et hallussinations (grosse depression), je ne sais toujours pas pourquoi on m a donne du risperdal (soit disant schizophrene ?!), je m en souvient encore: raideur incontrolable de la nuque avec sueur froide puis trouble du language ensuite forte parano, grosses hallus avec reveil une semaine apres attache a un lit, bravo.je ne comprend toujours pas ce qu il c est passe, car aucune explication du spy de l unite. depuis je prend du seresta 10 mg (pour femme enceinte)et tout va bien mise a par que je ne fais plus confiance au personel soignant en general, c est dommage
mina 10 juin
bonjour,
moi on m’a diagnostiqué schizophrène mais moi c’est depuis que j’ai été hospitalisée que je suis tombée vraiment malade. J’ai subi des injections de Clopixol pendant 4 mois et j’ai du mal à m’en remettre depuis. Mon cerveau ne récupère pas il est comme abîmé.